Théâtre
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"Sido" de Colette 2/5 : Une enfance heureuse
durée : 00:19:58 - Lectures du soir - "Sido" et mon enfance, l’une et l’autre, l’une par l’autre furent heureuses au centre de l’imaginaire étoile à huit branches, dont chacune portait le nom d’un des points cardinaux et collatéraux."
"L’Homme inquiet" de Henning Mankell 7/10 : Disparitions volontaires ?
durée : 00:24:10 - La Série fiction - " J'étais sûr désormais que Hakan savait des choses qui pouvaient gêner certaines personnes haut-placées. Hakan et Louise avaient-ils alors planifié leur disparition ? J’étais en train d’y songer sérieusement lorsqu’un violent malaise m’envoya à l’hôpital… "
"Sido" de Colette 1/5 : La couleur des étés
durée : 00:20:01 - Lectures du soir - "Étés réverbérés par le gravier jaune et chaud, étés traversant le jonc tressé de mes grands chapeaux, étés presque sans nuits… Car j’aimais tant l’aube, déjà, que ma mère me l’accordait en récompense. … "
"L’Homme inquiet" de Henning Mankell 6/10 : Intimidations
durée : 00:24:45 - La Série fiction - " Hakan savait des choses qui pouvaient en gêner certains. Ma maison avait été fouillée, et je commençais à croire qu’on m’observait, moi aussi… ça ne pouvait signifier qu’une chose : ce qu’avait découvert Hakan était toujours d’actualité. "
"Memento mori" de Sergio Blanco (extraits)
durée : 00:42:39 - Fictions / Théâtre et Cie - Memento mori est une sorte de conférence autofictionnelle, où à partir de sa propre expérience de la mort – expérience parfois véridique, parfois fictive –Sergio Blanco va à la découverte de lui-même, avec l’unique finalité de pouvoir formuler quelques idées sur la mort.
"Tierra" de Sergio Blanco
durée : 01:15:34 - Fictions / Théâtre et Cie - Sous la forme d'une autofiction pleine d'humour et de mélancolie, l'auteur rend hommage à sa mère disparue, au travers d'interviews prises sur le vif de personnes qu'elle a connues et aidées, en tant que professeure de littérature.
"Entreprise de transport" de Léo Malet (3/3) : une preuve
durée : 00:17:47 - Lectures du soir - "Il m’envoya sur les roses, et gueula qu’on n’avait pas de preuves. On n’en avait pas, en effet."
"L’Homme inquiet" de Henning Mankell 5/10 : Sous marins russes
durée : 00:24:51 - La Série fiction - "J'avais découvert que Hakan avait été au coeur d'une histoire de sous-marins russes dans les eaux territoriales suédoises en pleine guerre froide. Espionnage? Contre-Espionnage? Je décidais de le demander au seul vétéran de cette époque que je connaissais. "
"Entreprise de transport" de Léo Malet (2/3) : un indice insignifiant
durée : 00:18:13 - Lectures du soir - "Les indices étaient nombreux qui militaient en faveur de l’hypothèse du suicide. Il n’y en avait qu’un, tout petit, insignifiant, exigeant presque l’emploi d’une loupe pour forcer sa modestie de violette qui put laisser soupçonner un crime et qui, véritablement, le prouvait."
"L’Homme inquiet" de Henning Mankell 4/10 : Deuxième disparition inquiétante
durée : 00:24:18 - La Série fiction - " J'avais fini par apprendre que le beau-père de ma fille, officier de marine à la retraite, avait été au cœur d'une affaire de sous-marins russes entrés dans les eaux territoriales suédoises en pleine guerre froide quand le commissaire Ytterberg m'annonça que sa femme avait à son tour disparu...!"
"Entreprise de transport" de Léo Malet (1/3) : un détective de choc
durée : 00:17:05 - Lectures du soir - "Tout de même quelque chose clochait dans tout cela. Par exemple, je me demandais comment il se faisait qu’un maniaque de l’espèce d’André Pellerin n’ait pas laissé un message quelconque de tradition chez les désespérés."
"L’Homme inquiet" de Henning Mankell 3/10 : Premier cadavre
durée : 00:24:39 - La Série fiction - "Lorsque le commissaire Ytterberg chargé de l'enquête m'appela pour me dire qu'ils avaient trouvé un cadavre carbonisé, je décidai de le rejoindre sur le champ à l'institut médico-légal pour essayer d'en savoir plus. "
"Les Chats" de Boileau-Narcejac (2/2) : Deux énigmes
durée : 00:20:02 - Lectures du soir - "Cela fait que j’ai eu deux énigmes à résoudre au lieu d’une : celle du chat noir transformé en chat gris et celle du chat gris, transformé en chat blanc. Il se plaque la main sur le front."
"L’Homme inquiet" de Henning Mankell 2/10 : Disparition inquiétante
durée : 00:25:02 - La Série fiction - "J’avais 60 ans, j’étais commissaire, grand-père, et les choses avaient commencé à disparaître dans ma vie. D’abord des souvenirs, puis mon arme oubliée dans un restaurant, et maintenant le beau-père de Linda, ma fille. "
"Les Chats" de Boileau-Narcejac (1/2) : Un miaulement étrange
durée : 00:18:34 - Lectures du soir - "- Pas d’enfant ? - Non, j’ai un chat. C’est justement à cause de lui… je sais bien, ça a l’air idiot de s’attacher à une bête comme à une personne."
"L’Homme inquiet" de Henning Mankell 1/10 : Wallander
durée : 00:24:34 - La Série fiction - " Kurt Wallander. Commissaire à Ystad, banlieue de Malmö… J’ai une fille, Linda, un chien, Jussi, comme le ténor parce que j’aime l’opéra, j’habite dans une ferme au-dessus des falaises... je fais du diabète, je mets des slips taille 44 et des chaussettes trouées depuis mon divorce."
Ô nuit, ô mes yeux de Lamia Ziadé
durée : 01:06:50 - Fictions / Théâtre et Cie - Début du XXème siècle, Le Caire en pleine effervescence artistique et politique. Le premier jeudi du mois, Oum Kalthoum, adulée dans tout Le Levant, chante en direct à la radio. Et puis il y a Asmahan dont on suit la trajectoire fulgurante. Elle est très jeune, sublime, elle a une voix déchirante.
"Les Contes fantastiques" de Théophile Gautier 5/5 : La morte amoureuse
durée : 00:20:12 - Lectures du soir - " Vous me demandez, frère, si j’ai aimé ; oui. — C’est une histoire singulière et terrible, et j’ose à peine remuer la cendre de ce souvenir. "
"Code 93" d'Olivier Norek 5/5 : Lucas Soultier
durée : 00:29:27 - La Série fiction - " Deux bocaux de soixante-quinze centilitres de sang, trois de cinquante et quatre de vingt-cinq. Quatre litres exactement. Le corps en contient cinq, même si je compte le peu qui pourrait rester encore dans les veines et les organes, il manque quand même un litre. "
"Les Contes fantastiques" de Théophile Gautier 4/5 : L'oreiller d'une jeune fille
durée : 00:20:03 - Lectures du soir - " Si Ninette aimait bien les poupées, elle aimait encore plus les histoires, et surtout les contes de fées, qui sont peut-être les seules histoires vraies. "
"Code 93" d'Olivier Norek 4/5 : Star
durée : 00:28:44 - La Série fiction - " Le corps que vous allez voir est celui d’une toxicomane qui peut être votre fille, votre soeur. Si c’est elle, il aura certainement beaucoup changé, vieilli, puisqu’il aura été usé dans un mode de vie très marginal "
"Les Contes fantastiques" de Théophile Gautier 3/5 : Le club des Hachichins
durée : 00:19:55 - Lectures du soir - "Avant cette révélation, on vous aurait dit qu’il existait à Paris en 1845, à cette époque d’agiotage et de chemins de fer, un ordre des hachichins [..], vous ne l’auriez pas cru, et cependant rien n’eût été plus vrai — selon l’habitude des choses invraisemblables."
"Code 93" d'Olivier Norek 3/5 : Jordan Paulin
durée : 00:28:46 - La Série fiction - " C’est le bordel à tous les étages. Quelqu’un - je sais pas si on peut appeler ça un collègue - a volé 5000 balles et trois cents grammes de coke ce week-end…! "
"Les Contes fantastiques" de Théophile Gautier 2/5 : Le pied de momie
durée : 00:19:57 - Lectures du soir - "Ha ! ha ! vous voulez le pied de la princesse Hermonthis, dit le marchand avec un ricanement étrange, en fixant sur moi ses yeux de hibou ; ha ! ha ! ha ! pour un serre-papiers ! idée originale, idée d’artiste"
"Code 93" d'Olivier Norek 2/5 : Franck Samoy
durée : 00:28:49 - La Série fiction - " A l’examen du squelette, c’est un homme. Brûlure thermique du quatrième degré. Réduction du volume et du poids du corps, rétractation des tissus, déchirures et fractures spontanées dues à la chaleur. "
"Les Contes fantastiques" de Théophile Gautier 1/5 : La cafetière
durée : 00:20:08 - Lectures du soir - "Et je sentis que, si jamais il m’arrivait d’aimer quelqu’un, ce serait elle. Je me précipitai hors du lit, d’où jusque-là je n’avais pu bouger, et je me dirigeai vers elle, conduit par quelque chose qui agissait en moi sans que je pusse m’en rendre compte."
"Code 93" d'Olivier Norek 1/5 : Bébé Coulibaly
durée : 00:28:47 - La Série fiction - " On cherche une bagnole. Un cadavre de cette taille, ça se porte pas sur le dos. On cherche une camionnette, ou n’importe quoi d’assez grand pour y entrer ce mec. "
"Comment j'ai accouché de ma mère" d'Estelle Meyer
durée : 01:18:51 - Fictions / Théâtre et Cie - Les mères, les filles. Être mère de sa mère. Les lignées tressées de cris et d’étoiles. Réparer à mains nues le silence. Le récit des mises au monde. Le chemin de naître.
"La Nouvelle Espérance" d'Anna de Noailles 5/5 : Eteindre la flamme
durée : 00:20:00 - Lectures du soir - " Il faut que vous me guérissiez tout de suite, je vous en supplie, de cette douleur que j’ai dans la nuque tout le temps, et d’une tristesse qui me met des larmes dans toutes les veines. "
"Poèmes" de Victor Hugo 15/15 : Discours pour l'abolition de la peine de mort
durée : 00:04:31 - La Série fiction - Denis Podalydès de la comédie française lit le discours de Victor Hugo pour l'abolition de la peine de mort, prononcé à l'Assemblée constituante le 15 septembre 1848. Equipe de réalisation : Louise Loubrieu et Bastien Varigault
"Claude Gueux" de Victor Hugo
durée : 00:24:49 - La Série fiction - Fort maltraité par l’éducation, fort bien traité par la nature, il avait la parole rare, le geste plus fréquent, il vola un soir de disette et se retrouva au cachot…
"La Nouvelle Espérance" d'Anna de Noailles 4/5 : Un cœur éclaté
durée : 00:19:50 - Lectures du soir - " Et, comme l’instant du départ était venu, et que Philippe allait monter en wagon, elle lui prit les doigts violemment ; de tous ses ongles éperdus, elle lui donna une cruelle, une passionnée poignée de main. "
"Poèmes" de Victor Hugo 14/15 : "Écrit en 1846"
durée : 00:04:35 - La Série fiction - Denis Podalydès de la comédie française lit "Écrit en 1846" de Victor Hugo, extrait des Contemplations Equipe de réalisation : Louise Loubrieu et Bastien Varigault
"Les Misérables" de Victor Hugo 14/14 : La vérité
durée : 00:24:25 - La Série fiction - Marius et Cosette se marient le 16 février 1833. Le lendemain, Jean Valjean avoue à Marius qu’il est un ancien forçat.
"La Nouvelle Espérance" d'Anna de Noailles 3/5 : La vague et le vertige
durée : 00:20:00 - Lectures du soir - " Alors vous croyez vraiment que je fais autre chose, du matin au soir, que de répéter cent fois dans ma pensée, dans mon désir, cet acte de venir vous voir, de prendre une voiture et de venir vous voir ?... Vous, vous travaillez ; moi, je ne fais que cela. "
"Poèmes" de Victor Hugo 13/15 : "Suite"
durée : 00:04:48 - La Série fiction - Denis Podalydès de la comédie française lit "Suite" de Victor Hugo, extrait des Contemplations Equipe de réalisation : Louise Loubrieu et Bastien Varigault
"Les Misérables" de Victor Hugo 13/14 : La défaite
durée : 00:24:39 - La Série fiction - La barricade est tombée. Le révolutionnaire Enjolras et ses amis sont fusillés. Jean Valjean sauve Marius blessé en s’enfuyant par les égouts. - réalisation : François Christophe
"La Nouvelle Espérance" d'Anna de Noailles 2/5 : Un feu calme
durée : 00:20:02 - Lectures du soir - "Son existence reprenait. Quelquefois, le soir, elle se trouvait contente avec son mari, près de la cheminée où le feu bas faisait un bruit doux et qui serpentait. Le souvenir de la demeure de Philippe Forbier ne lui était qu’un réservoir d’énergie qu’elle employait au plaisir de sa vie domestique."
"Poèmes" de Victor Hugo 12/15 : "Pleurs dans la nuit"
durée : 00:04:08 - La Série fiction - Denis Podalydès de la comédie française lit un extrait de "Pleurs dans la nuit" de Victor Hugo, extrait des Contemplations. Equipe de réalisation : Louise Loubrieu et Bastien Varigault
"Les Misérables" de Victor Hugo 12/14 : Gavroche
durée : 00:24:43 - La Série fiction - Gavroche meurt sur les barricades alors que Marius vient de lui confier une lettre pour Cosette. Jean Valjean prête main-forte aux révolutionnaires. - réalisation : François Christophe